Extraits de Pensées Vagabondes, III, Saint-Cloud, Editions de l’Onde, 2022 Amour, impair et passe Nous nous aimions. On le croyait. Nous voulions le croire. On continuait à s’aimer. Inconstants...
Catégorie - Créations
De l’égoïsme maximal
De l’égoïsme maximal à leur fin touchent – bien que le désir s’infinitise – une civilisation nombre d’espèces – let alone singularities – ce n’est pas seulement le sablier du...
Notre Mai 68
C’était il y a plus de 50 ans. Le 22 mars 1968, au déclenchement des premiers évènements à Nanterre, je ne suis plus étudiant. J’ai quitté l’école à la mi-juin 1967, muni du beau diplôme d’HEC. Ayant...
Le Bar de la plage – Épisodes 120, 121 et 122
Episode 120 Le vieil homme était assis Le vieil homme était assis au bord de l’eau à côté de l’ami Pierrot – le fou d’amour. De loin on entendait quelques accords joués au saxo. De quoi...
L’apesanteur et la grâce
Il y a dans la vie des moments de totale plénitude, où l’on se sent particulièrement heureux, pas une seule douleur corporelle, un niveau intellectuel décuplé...
Le Bar de la plage – épisodes 117, 118 et 119
Episode 117 Je m’ennuyais, je suis allé faire un tour au bar de la plage Jules aussi. Il dit : ” cet été n’en finit pas… les minutes, les heures, les jours, les semaines...
BELLEVUE : LYCEE PILOTE MIXTE 1955/1962
L’orientation vers le lycée Prix d’Excellence dans toute les classes de l’école primaire Marengo, en plein quartier populaire, j’étais sur une voie toute tracée...
Deux poèmes de Marian Draghici traduits par Sonia Elvireanu
quelque chose de plus réel que le néant il existe peut-être quelque chose de plus réel que le néant monsieur Beckett, l’amour d’une femme qui n’existe plus (la mort ni l’oubli ne nous ont pas...
Deux poèmes
La girafe et le samouraï Telle la girafe de l’amour je tends mon cou vers toi ne le disant encore que pour ne plus effrayer en jetant un sentiment confus sur ton beau corps Ton cerveau dont je...
« Le Destructeur » d’Aurel Pantea (2012) – extraits traduits du roumain par Sonia Elvireanu
Aurel Pantea Pour Katia Les gens dans la rue, comme tu les sens, comme une pâte, secrétés par une impulsion sans niveau, éloignés et terriblement inhumains, avec des voix sortant d’un état déplorable...