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     Sophie était venue à la maison travailler avec son amie, comme à l’habitude. C’était l’année du bac… La maison était éloignée et elle y passait le week-end, partageant le lit double de sa copine. Elle prenait les repas et participait à la vie de la maisonnée : le père, sa compagne et les autres enfants du couple. Ce matin-là, il était resté avec elle et tous les autres étaient descendus au village faire des courses. Elle voulait terminer son travail scolaire et lui la préparation de ses cours. À 17 ans, elle semblait peu sûre d’elle, avec sans doute des complexes et quelques problèmes de peau apparemment insolubles, mais jolie néanmoins avec de longs cheveux blonds, des yeux clairs, un corps mince, de longues jambes et une poitrine voluptueuse ayant la fermeté de son âge. 

    Elle n’avait aucune expérience des garçons et ne semblait se préoccuper que de ses résultats au lycée. Mais le père, lui, avait pensé tout de suite à profiter du départ des autres. En fait cette fille l’attirait depuis longtemps et il avait imaginé souvent de se retrouver seul avec elle pour l’initier. Il entra dans la chambre sans faire de bruit et s’approcha d’elle par derrière pour déposer un baiser sur ses cheveux. Surprise, elle se retourna violemment et lui fit face avec un regard furieux et effrayé à la fois. Elle vit l’homme immobile qui s’était reculé et la regardait sans expression. Il ne tentait rien et quelques secondes ils restèrent face à face, sans dire un mot. Elle réfléchissait à toute allure et son hostilité se transforma en une peur délicieuse, un vertige qui la saisissait, un serrement de cœur, une bouffée d’excitation… La perspective de connaître enfin et tout de suite ce à quoi elle pensait depuis quelques années la fit tomber dans un désir haletant. Elle baissa la tête, rougit et ne dit rien. Elle tremblait légèrement et attendait… L’homme comprit immédiatement et lui prit la main sans un mot, l’approcha de lui et l’enlaça. Elle chercha ses lèvres et l’embrassa avec fougue. Elle n’avait plus qu’à se laisser faire, se laisser guider, s’abandonner… Elle était devenue en un instant un objet confiant que l’homme pouvait utiliser à sa guise. 

    Il releva lentement son tee-shirt et découvrit sa poitrine tenue par un soutien-gorge sage. Il fit le tour de son corps et le dégrafa, le retirant doucement vers l’extérieur et découvrant sa jeune poitrine, gonflée, magnifique. Il commença à la caresser délicatement, soupesant les seins et pinçant les tétons qui se raidirent. Elle sentait un bonheur délicieux l’envahir, abandonnant la blancheur de son corps aux mains expertes. Il en approcha les lèvres et la lécha, la suçota comme d’une pure merveille. Puis il glissa les mains vers sa taille et commença à baisser le short qu’elle sentit glisser à terre. Il s’agenouilla ensuite et fit descendre le slip découvrant la blonde toison. Elle serra instinctivement les jambes tandis qu’il effleurait des lèvres ses poils et embrassait la chair tout autour. 

    Il se redressa, elle était nue maintenant et lui encore tout habillé ; elle se laissa aller contre lui. Il la fit asseoir puis allonger sur le lit et lentement écarta ses cuisses découvrant sa fente toute entière. Il commença à embrasser ses cuisses dans l’intérieur, près du sexe, à l’endroit où la peau est la plus douce. Elle se prit à gémir doucement et ferma les paupières en posant ses bras et ses mains sur la tête de l’homme. Il se mit à lécher son sexe et chercha son clitoris qu’il entreprit de suçoter. Elle se laissa aller au plaisir qui montait par vagues successives, de plus en plus fortes. L’homme arrêta et commença à caresser son sexe humide de la main et enfoncer ses doigts dans le vagin qu’il massait doucement de l’intérieur. Elle respirait de plus en plus fort sans faire attention au bruit. Son excitation montait et il sentit qu’elle devenait incontrôlable. 

    Alors il la fit asseoir sur le bord du lit et debout devant elle, son short à hauteur de son visage, il commença à se dégrafer. Il le fit baisser et déjà son sexe rigide et humide sortait de la fente de son caleçon. Elle regardait le phallus à quelques centimètres de ses yeux, tandis qu’il finissait de se déshabiller. Elle observait la verge dressée, le gland à demi décalotté, le liquide sortant doucement de la fente, les veines sur la hampe et les testicules gonflés. Il prit son propre sexe dans sa main et commença à se masturber lentement devant elle. Puis après une minute de va-et-vient qu’elle observait fascinée, il lui prit la main et la porta sur la verge, lui indiquant de poursuivre le même mouvement. Le contact avec la chair ferme et chaude la fit frémir, et elle commença à manœuvrer de bas en haut en serrant le sexe maladroitement. Il l’arrêta à plusieurs reprises pour lui montrer comment faire, comment enserrer le prépuce pour qu’il recouvre le gland et le découvre dans une caresse régulière, comment limiter la pression et la faire porter sur la partie la plus sensible, la partie supérieure du sexe. Peu à peu elle devenait plus habile et prenait un plaisir extrême à donner la jouissance qu’elle sentait monter instinctivement des reins de l’homme. Celui-ci commençait à haleter, à perdre le contrôle de son plaisir. Il le sentait proche et elle alla plus vite voyant les effets directs de sa caresse. Quant il sentit l’éjaculation venir, il approcha doucement la tête de la jeune fille en la prenant par la nuque et elle se laissa faire de façon à présenter son visage devant la boule rouge et doublée de dimension du gland surexcité. Elle vit tressauter les longs éclairs de la semence qu’elle reçut sur son nez, son front, ses lèvres, ses cheveux… Elle ferma les yeux en se sentant éclaboussée du liquide chaud qu’elle avait fait sortir, fière de contrôler ainsi le plaisir d’un homme. Le sexe finissait de dégoutter le sperme et elle le sentit se dégonfler légèrement. Il desserra sa main d’autour de la verge et vint l’embrasser sur le visage, léchant son propre liquide et cherchant sa bouche pour l’y mélanger entre leurs langues. Elle sentit pour la première fois ce goût sur ses lèvres, et se laissait aller à cette odeur nouvelle de l’amour. L’homme lui indiqua la douche et s’allongea pendant qu’elle se lavait. 

    Au bout d’un moment, reposé, il sentit le désir monter à nouveau. Elle s’était allongée près de lui, timide, et il commença à l’embrasser sur ses seins, ses bras, son ventre, puis à nouveau sur ses cuisses et son sexe. Elle s’offrait et ouvrit les jambes, attendant l’homme. Il s’approcha contre elle présentant son sexe devant la fente. De son doigt, il caressa l’entrée du vagin, jusqu’à ce qu’elle soit bien excitée et mouillée. Alors la recouvrant et tenant à la fois d’un doigt le vagin et des autres son propre sexe, il le guida vers elle et la pénétra doucement, laissant seul le gland entrer. Quand elle sentit le sexe de l’homme en elle, elle se mit à pleurer doucement, sentant qu’elle accomplissait là sa destinée physique, qu’elle s’unissait à l’homme et devenait enfin entière. 

    Alors il continua sa pénétration, sentit l’hymen se briser doucement et l’envahit enfin complètement. Il commença le mouvement immémorial et de plus en plus vite, de plus en plus fort, il sentit qu’elle l’accompagnait, qu’elle prenait un plaisir inouï, tout neuf. Elle se voyait pleine de cet homme, avec l’impression qu’ils ne faisaient plus qu’un. Ils ne sentaient plus leur sexe, ils n’en avaient plus, en fait, il n’y avait plus de différence, il n’y avait qu’une même sensation de plaisir commun. Ils étaient un. Il jouit longuement dans cette vierge qu’il venait d’ouvrir et elle sentit à son raidissement cette seconde forme de jouissance de l’homme, au fond d’elle, qui l’inondait encore de sa semence. 

    Il resta longtemps couché sur elle, comme mort, et se retira lorsque son sexe tout réduit fut en fait doucement expulsé par le vagin. Cette fois-ci il s’endormit pour de bon, tandis qu’elle se prit à le caresser lentement sur le dos. 

    Plus tard il se réveilla et la trouva tout contre lui. Pas une parole n’avait été échangée depuis le début. La vue de ses jeunes seins gonflés et superbes lui donna à nouveau une érection et il prit sa main pour la porter à son sexe. Elle commença à le caresser mais il voulait sa poitrine. Il la fit s’agenouiller à côté du lit et lui montra comment prendre son sexe entre ses seins et le caresser. Elle s’appliqua à le presser de son corps pendant qu’il montait et descendait entre les globes. Elle voyait le gland sortir sous son visage. Au bout d’un moment il se dégagea et lui prit la tête d’une main, pendant qu’il saisissait son sexe de l’autre, et l’approchait du visage de la jeune fille. Elle comprit que le moment était venu de la caresse suprême, la fellation qu’elle connaissait par ses lectures et les racontars de ses copines. Elle se laissa faire et arrondit ses lèvres pour lui montrer son consentement. Mais il rapprocha d’abord de lui son visage qu’il voulait caresser de sa verge, il se frotta contre ses joues, son nez, ses yeux, jouissant de la mouiller partout. Ensuite il lui mit un doigt dans la bouche et l’entrouvrit pour y pénétrer. Elle se prit au jeu, il approcha alors son sexe, s’enfonça dans sa gorge et commença à y aller et venir. Il s’interrompit pour lui montrer comment faire elle-même et utiliser sa bouche comme un vagin en action. Toujours consentante, elle s’appliquait avec la plus grande douceur. Il se raidit davantage, contemplant avec satisfaction le visage de la jeune fille qui montait et descendait autour de son sexe ; il lui écarta les cheveux pour mieux profiter de ce spectacle inouï : une vierge à peine déflorée qui suçait comme la plus experte des prostituées. Bientôt cette vue, sans parler du contact de la bouche autour du gland, déclencha un spasme et il jouit en courtes giclées. Elle comprit d’elle-même qu’elle devait avaler la semence de l’homme qui était en train de décharger au fond de la bouche. Il lui tenait la tête des deux mains et elle absorbait le liquide blanchâtre sans rechigner. Enfin il retira le sexe encore raide et l’attira à lui pour l’embrasser, il passa sa langue dans sa bouche, contre la sienne, pour y goûter sa propre semence ou ce qu’il en restait. 

    Il lui restait une entrée qu’il n’avait pas pratiquée. Il avait eu ses mains pour le branler, et il avait joui sur son visage ; il avait eu son sexe pour la pénétrer, et utilisé sa bouche pour y jouir sans frein. Il voulait maintenant la déflorer dans son orifice le plus étroit, l’œillet de l’anus et le fourreau du rectum. Mais il était fatigué et remit à plus tard cette entreprise qui déjà lui promettait de nouvelles sensations fulgurantes. 

    Ils se séparèrent pour attendre, l’air innocent, le retour des autres. Rien ne fut plus échangé entre eux pendant plusieurs semaines. Ils se voyaient comme avant et personne n’imagina un instant, dans leur entourage, ce qui s’était passé. Enfin, un jour, ils se retrouvèrent seuls à la maison. Elle le regarda avec un air d’attente et il l’attira aussitôt à lui pour l’embrasser tendrement. Mais il voulait lui montrer une autre facette de l’amour, celle de la brutalité feinte, du rudoiement. Il la poussa sur le lit, lui enleva ses vêtements sans ménagement et la retourna pour qu’elle présente sa croupe. Les deux fesses rondes, magnifiques, la taille voluptueuse, les hanches superbes se présentaient à lui. Il commença à caresser son postérieur, flattant les cuisses, le sexe, l’anus, de touches légères. Puis il se leva et se déshabilla, alla chercher un gel dont il enduisit son sexe. La plaquant sur le lit d’une main il lui barbouilla l’anus et tout son pourtour, en faisant pénétrer le produit à l’intérieur des parois resserrées. Elle sentit son cœur battre follement en réalisant que l’homme allait s’attaquer à la dernière entrée intacte de son corps. Elle se raidit, s’attendant à une pénétration progressive et douloureuse. Mais il s’y prit autrement, présentant son sexe glissant devant l’œillet en le guidant devant sa cible, et, d’un seul coup de reins, il s’enfonça violemment jusqu’à la garde, jusqu’aux testicules qui vinrent buter contre sa fente un peu plus bas. Elle eut un haut-le-corps en encaissant cette pénétration rapide et sauvage, mais ne ressentit qu’une brève douleur, le gel facilitant l’entrée de ce corps étranger, une douleur qui se transformait peu à peu en plaisir, qui se mêlait à une jouissance différente, plus fruste et brute que la communion normale. Déjà l’homme, hors de lui, se déchaînait en elle, cognant contre ses fesses, se retirant jusqu’à ce que le gland soit seul à l’intérieur de l’anneau qui le retenait, et se renfonçant d’un coup. Elle appréciait déjà cette sensation nouvelle, différente de tout ce qu’elle avait déjà découvert, la relation des sexes, la fellation, et qui ressemblait en plus fort au plaisir de la défécation. Elle se laissait brutaliser sans protester par l’homme qui ahanait sur elle comme un bûcheron, sentant la verge se raidir encore, gonfler jusqu’à ses limites extrêmes. Finalement, n’en tenant plus, gémissant lourdement, il éclaboussa l’intérieur du cul de la jeune fille d’une écume de sperme qui n’en finissait pas, le cœur battant à grands coups sous l’effet d’un orgasme ravageur. Il s’affala enfin sur elle, maintenant la pénétration au plus profond qu’il pouvait.