De la pauvreté, ou éléments de sagesse. Autrefois, moi l’effrayé, l’ignorant, vivant à peine, me couvrant d’images les yeux, j’ai prétendu guider mourants et morts. (Leçons) C’est par ces...
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LA BATAILLE DE SÉTIF d’Abdelkader Benarab.
À la veille de la commémoration du 50e anniversaire de l’Indépendance de l’Algérie (1962-2011), l’édition des livres d’histoire et de fiction voit de la part des écrivains et...
Tree of Life (3)
Cliquez ici pour lire Tree of Life (3) Entre Breton, Aragon, Eluard, Valentine, Irine et Rachel, il est arrivé que je me perde sur une feuille blanche en quelques détours langagiers. Je me permets :...
L’écriture minimaliste de Dany Laferrière : Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer et La Chair du maître
L’écriture minimaliste de Dany Laferrière : Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer et La Chair du maître Dany Laferrière est, dans le paysage littéraire francophone ou mondial[1]...
Chroniques martiennes (1)
« Le mensonge est souvent plus plausible, plus tentant pour la raison que la réalité, car le menteur possède le grand avantage de savoir d’avance ce que le public souhaite entendre ou s’attend à...
Frantz Fanon, l’homme de rupture d’Abdelkader Benarab
Ce livre d’une centaine de pages dense et précis, présente Frantz Fanon dans un parcours atypique au cours d’une période où la lutte pour l’indépendance de l’Algérie était à...
Espaces du souvenir et de construction des identités urbaines et sociales dans Petit Jo, enfant des rues d’Évelyne Mpoudi Ngollé.
Introduction Paraphrasant Karlheinz Stierle, Henri Garric considère la ville comme « un système sémiotique ».[1] Ainsi comprend-on que la ville pourrait être un énoncé produit par un énonçant, dans...
Tree of Life (2)
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Des ruines de Jean-Luc Raharimanana : politique et poésie au théâtre.
Les Parisiens, permanents ou de passage, devraient se précipiter à la Maison de la poésie, dans le quartier Beaubourg, pour écouter le comédien d’origine congolaise Phil Darwin dans son...
La faune et la flore césairiennes : marqueurs de négritude ? Aimé Césaire a-t-il lu Amos Tutuola ?
Le discours césairien – « corps éternellement non prêt éternellement créé et créant » … Ses images, hyéroglyphes d’un ailleurs inconnu, son bestiaire en perpétuelles...