Edouard
Feu Maistre Maudit
G
Rêver d’audace en eau bénite
Oublier de murmurer à genou
Brûler la flamme dans le silence confiné
Bercer ta voix au choix du sang
Amen.
i
La Mecquanique
Tes prières
Me tapent
Sur
Le virus
Je mmmh
Au caramel
La vapeur
Tes lèvres vides
Fraisées
Tu caprices
Ma Diva
Oh Reine de Saba
J’ai le désir
Paresseux
Danse. Danse. Acide.
La plage déserte. Danse.
Tes fesses pleines
Oh danse
J’ai le désir
Qui s’agite
Oh danse. Acide.
Oh Transe.
f
J’ai envie de te sucer la bouche
De t’enculer les doigts
De rugir au blanc de tes yeux
Dans le noir du feu de camp
Te baiser au détour de la commode
Sur l’îlot de la cuisine
Je soupire –oh- mon pôle d’amour cru
Te posséder les barreaux du lit sciés
Te retourner une fois de plus
Ma cravate se rend très subtile
Te prendre encore les étincelles
Du plumeau sur glace de sang
N’oublie pas les masques !
t
Le clair de brume enchardonné
Ivre enfin de ta toison d’or
Mon épée brandie au sud
Ton nord en pamoison
Regarde-moi !
O
Croiser ton regard
La lune qui se décroche
Mon Cœur qui s’évade bleu
Mort.
Sans voix.
Oh ? Y’aurait moyen d’avoir une bière ?
f
Ton désir me détruit l’envie
Mon membre prend le détour
De tes mots fiévreux
Des Dieux je descends
Des morts je reviens
Ouvre-toi
M
Un jour en Enfer
A débours je me lève
Toi, tu restes
Une heure de délice
Chaude dans ma tête
Le sexe enragé
L’antre de la terre
Oh dure loi
Eboulage de nos baises
Geysers des prémices
Cadavres de bières
Au sol nu de nos ébats
“Tu m’appelleras?”
“Hahaha ! La bonne blague !”
a
Tu m’as perdu dans le labyrinthe des mots
Lâché dans la jungle d’un téléphone
Qui n’en avait rien à foutre
Allez ! Ecarte les cuisses.