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Psy (2)

mains

Celle-là n’était pas vraiment psy, elle avait un boulot tranquille dans un rectorat de la banlieue sud, mais elle pratiquait en plus une de ces branches ésotériques de la psychologie, reposant sur les mouvements du corps, des mains et les flux d’énergie. Pour lui ça semblait un peu bidon bien sûr, un peu secte, mais ce n’était pas sa préoccupation première à son sujet et quand ils en parlaient, il prenait une expression attentive…  Elle était grande, belle, un visage très agréable à regarder, les cheveux châtain clair avec une mèche dorée sur le front, bien dans sa peau et sûre d’elle. Mariée deux fois elle avait eu quatre enfants, trois plus un, et touchait à la fin de la quarantaine. Une Parisienne encore, qu’il avait rencontrée chez des amis, organisant le face à face, sachant qu’ils étaient tous les deux disponibles. Après un dîner chez eux, aux Buttes-Chaumont, il la raccompagna chez elle, dans le même quartier près du parc.

Lui sortait brisé d’une aventure avec sa précédente psy, encore l’esprit plein d’elle et ne pouvant se résoudre à la perdre. Il accueillit ainsi cette nouvelle aventure avec un mélange de soulagement et de réticence. Elle n’avait pas froid aux yeux, dès le premier soir, ils se prirent la main et s’embrassèrent dans la rue, se promettant avec les yeux d’aller rapidement plus loin. Ils n’attendirent pas longtemps, dès le lendemain il était chez elle, sa fille de huit ans, vivant encore à la maison, était ce soir-là chez son père. Il la déshabilla fiévreusement et apprécia sa beauté, de longues jambes, un bassin admirable, la taille fine, des fesses fermes et bien rondes, un ventre plat, seuls les seins n’étaient pas aussi beaux qu’il aurait pu le souhaiter, mais cela n’avait guère d’importance, son corps dégageait une sensualité plaisante. Pas besoin de s’interroger sur le fait qu’elle avait enfanté quatre fois, son physique donnait tout seul l’explication, son cul appelait irrésistiblement à l’amour. Il y résista cependant, très involontairement, en éprouvant la panne classique de la première fois, bandant à demi, trop mollement pour pouvoir la pénétrer. Elle se fit compréhensive, comme il se doit, lui répétant que ce n’était pas grave, et ils se couchèrent. Au milieu de la nuit, la nature reprit ses droits, et il lui fit l’amour dans un demi-sommeil, dans une sorte de halo de bien-être et de plaisir aigu qu’elle partagea.

Dès lors, leur relation amoureuse n’eut guère de trêve, allant toujours plus loin, dans une quête qui les mena à essayer les boîtes échangistes. Ils s’étaient connus en décembre et allèrent passer le réveillon sur le Nil, un de ces navires hôtels s’arrêtant dans tous les temples et les sites, Karnak, Louxor, la Vallée des rois, Assouan, Abou Simbel (en bus), etc., si merveilleusement conservés dans le climat sec du quasi-désert. Ils s’aimèrent dans leur cabine, se firent des amis, remplirent sagement leur rôle de touristes dans les temples, ressemblant à cette période de l’année au métro aux heures de pointe.

De retour en France, ils passèrent les six prochains mois à faire les aller-retours, entre Paris et le Midi, jusqu’à l’été, où ils partirent encore à l’étranger, une croisière dans les Kornati sur un voilier loué, avec des amis, puis à La Rochelle où elle avait une maison de vacances, c’était l’été de la canicule, la mer n’avait jamais été aussi chaude, l’Atlantique d’habitude si frais ressemblait aux mers chaudes, ils firent l’amour dans l’eau, près de leur dériveur, dans l’île voisine.

À Paris, elle se rendit compte qu’il n’était pas libéré de son ex, la psy parisienne elle aussi. Elle était jalouse. Un jour elle fouilla dans ses papiers et dans son téléphone, pour savoir qui elle était, ne pouvant résister à la curiosité, à la jalousie. Il s’en rendit compte, la gronda par jeu, et décida une scène érotique, où il la « punirait », elle se prêta à la mise en scène, et il la prit, dans toutes ses entrées, tour à tour, la fessa gentiment. Ils rirent tous deux du jeu.

La fessée devint un sujet réel, il avait envie d’aller plus loin, de la fesser vraiment fort avant de la prendre, comme il l’avait fait avec d’autres, qui appréciaient et en redemandaient, il lui proposa. Mais elle n’était pas d’accord, pas prête à ce genre de pratiques, de violence, même relative. Elle en parla même à son psy, hésitant à se lancer là-dedans. Comme d’habitude, le psy lui donna une réponse évasive, la laissant décider. Ils n’allèrent pas plus loin, il n’insista pas, après tout il y avait tant d’autres manières de s’érotiser…

Un long week-end chez lui, dans le Sud, à une époque où tout le monde parlait des boîtes échangistes, qui sortaient au grand-jour, ils se décidèrent à essayer. Le tabou était là, difficile à franchir, et un beau soir, après le cinéma, ils se jetèrent à l’eau. Il n’y a que le premier pas qui coûte dit-on, et en effet, une fois la barrière franchie, on s’habituait très vite à un comportement érotique nouveau. C’était à Ollioules, au Cyrano. Il passa là une soirée incroyable, d’un érotisme tendu à l’extrême. Sans jamais aller jusqu’à l’orgasme, il eut le sentiment d’une jouissance permanente qui durait des heures. En sortant il lui demanda, « Tu as aimé ? » « J’ai aimé ton excitation », répondit-elle.

A l’arrivée, on prenait un verre au bar, tout à fait ordinaire, puis il fallait aller au sous-sol, là où tout se passait. Comme c’était la première fois, tout était une sorte de rêve éveillé. Il vit dans un recoin, debout dans la pénombre, une jolie femme, une jambe levée, entourée de deux hommes, dont l’un lui faisait l’amour debout et l’autre attendait son tour, elle gémissait et haletait de plaisir. Il fut saisi, cette vision érotique resta pour longtemps gravée dans sa tête. D’autres couples, ou trios, ou quatuors, se livraient au plaisir un peu partout. Il prit sa compagne contre un lit, face à lui, d’autres les regardaient. Une femme contre un mur avait sorti le sexe épais de son compagnon, mi-bandé, et le caressait. Un homme assez jeune, beau gosse, grand et bien découplé, les avait repérés et leur tournait autour, elle voyait bien qu’elle le fascinait, mais ils n’osaient pas encore aller plus loin, le recevoir dans leur jeu érotique, une occasion manquée… Plus tard, au milieu des couples, il lui demanda de se mettre à genoux et de le prendre dans la bouche, à côté d’un autre couple dans la même position. Elle ne se fit pas prier et entreprit une lente fellation. Au bout d’un moment, il se dégagea et donna un coup de coude à l’homme à côté, lui faisant comprendre son idée. Ils inversèrent les caresses, lui, présentant son sexe à l’inconnue à côté, l’homme passant derrière lui, bandant comme une brute, et amenant le sien devant la bouche de sa compagne. Les deux femmes les recueillirent et, surexcité, il goûtait la situation, le visage nouveau, inconnu, qui absorbait son membre, les lèvres humides, la langue qui tournoyait sur le gland… Il ne jouit pas encore, gardant cette excitation et ce plaisir particulier, contenus, durables, interminables… Ils rentrèrent au petit matin avec des images plein la tête, exaltés, comme lors d’une découverte extraordinaire, et firent l’amour une dernière fois dans son lit.

Un matin à Paris, quand ils descendaient sa rue, allant au travail après une nuit de plaisir, il la trouva rayonnante et il le lui dit. “Les femmes bien baisées sont comme ça”, lui répondit-elle, “tu ne savais pas ?” Ils s’entendaient bien, mais il la laissa cependant, l’autre le rappelait, lui faisait miroiter des retrouvailles alors qu’elle voulait simplement s’assurer de son contrôle. Pendant un moment, il oscilla entre les deux femmes, alla de l’une à l’autre, très mal à l’aise. On était au début des années 2000, le SIDA était encore dans tous les esprits, il n’arrivait pas à bien mentir, il était tout le temps tourmenté, il n’arrivait pas à se dépêtrer des précautions élémentaires, afin de ne faire courir de risque à aucune d’elle.

Deux autres expériences dans les boîtes échangistes lui imprimèrent des souvenirs érotiques à vie. L’une à Montparnasse, au 2+2, l’autre en Charente, l’Angely’s Club. À Paris, quand ils entrèrent, elle était en pantalon, vêtement non autorisé dans ces lieux. Ils louèrent une jupe pour la soirée à la réception, une petite jupe noire ras des fesses tout à fait adaptée au programme. En bas, sirotant leur boisson, devant la piste de danse classique, il lui demanda d’enlever son slip avant de monter à l’étage, endroit de tous les plaisirs. Elle l’enleva tranquillement et le mit dans son sac. Il était naturellement surexcité. Puis ils montèrent un large escalier, elle devant, lui derrière, il voyait devant lui onduler ses fesses… Il l’arrêta au milieu, « j’ai envie de te prendre », lui dit-il. Elle ne se fit pas prier, et devant les gens montant ou descendant, qui s’arrêtaient pour les regarder, il sortit son sexe et lui fit l’amour debout, par derrière, un court moment, sans aller au bout de son plaisir.

En haut, des gens faisaient l’amour un peu partout, en couple ou en groupe. Encore prudents, ils préféraient rester ensemble, ne pas se mêler, elle ne voulait pas d’autre partenaire, refusait tout attouchement. Il se souvenait l’avoir prise de face, sur un lit-banquette, avec des gens autour les regardant. Une femme, genre artiste, très libre, assez belle, s’approcha d’elle et commença à la caresser, alors qu’elle était prise et en train de subir ses assauts, elle la repoussa gentiment, mais fermement, lui faisant comprendre qu’elle n’était pas encore prête à faire l’amour avec des inconnus.

À propos des boîtes échangistes, il se rendit compte que les tabous tombaient très vite et pouvaient s’inverser aussi rapidement. La plupart de ses femmes successives auraient été horrifiées d’une telle proposition : « Essayons une boîte échangiste »… Elle non, elle était curieuse, n’avait pas froid aux yeux, et était hot, hot, hot. Une fois entré dans le lieu, tout changeait, l’habitude ordinaire, on ne fait pas l’amour en public, on le fait dans l’intimité de sa maison, souvent la nuit, disparaissait, là il semblait tout à fait normal, et même recommandé, c’est pour ça qu’on était là, de faire l’amour devant les autres. Et le plus étonnant est que ça venait tout naturellement. On pouvait changer de tabous en un tournemain. On dit souvent qu’un des aspects les plus propres à l’homme est la capacité d’adaptation, ainsi dans les camps, on dit toujours que les victimes s’adaptaient à l’horreur. Là on avait le même comportement, à une échelle toute différente, puisqu’il s’agissait seulement de s’adapter au plaisir, à la luxure partagés.

En Charente, à St Jean d’Angely, ils eurent une expérience encore différente. Quand ils arrivèrent dans la boîte, la soirée battait son plein. Il faut savoir qu’elles sont de deux types, les soirées pour couples, où on ne peut venir seul, et les soirées où les hommes seuls sont admis. Les premières sont plus agréables, le nombre d’hommes et de femmes étant le même, la liberté est plus grande, l’atmosphère plus détendue. Dans les secondes, le déséquilibre hommes/femmes fait que ces dernières ont tendance à se protéger, s’offrant aux regards, mais pas à tous les excès. Ce qui n’est pas toujours le cas. Voyons tour à tour deux expériences de ce type.

C’était donc en Charente, et quand ils arrivèrent, la même excitation érotique les saisit. Il y avait une piste de danse, un étage pour les ébats collectifs, des « coins câlins » un peu partout, et deux piscines chaudes dans la grande salle à côté, avec jacuzzis. Ils montèrent tout d’abord, et là dans la salle encore peu occupée, il ne put se retenir et la fit s’asseoir sur la banquette, sortant son sexe à hauteur du visage. Elle le prit dans la bouche et commença la fellation. Un homme à côté les observait, approbateur, ils échangèrent quelques mots, évaluant la qualité de la prestation, comme si elle n’était pas là. L’homme ne chercha pas à obtenir sa part, il se comporta de façon discrète et les laissa.

Puis, en bas, ils allèrent dans le bain, à côté d’autres groupes, dans une atmosphère de luxure totale. Ils firent l’amour dans l’eau, à côté de deux couples jeunes, faisant aussi l’amour et s’échangeant les partenaires. Ils étaient tout proches, et alors qu’elle s’asseyait sur lui, absorbant son sexe en lui tournant le dos, il observait les ébats à côté. Une fille se faisait prendre par derrière dans l’eau et en même temps absorbait dans sa bouche le sexe de l’autre garçon, assis plus haut sur le rebord. Il laissa sa main s’égarer et la caressa, sur le ventre, sur le dos, les fesses, puis les seins, lourds et bien soutenus par l’eau. Il eut du mal et ne pas se laisser aller et jouir au fond de sa compagne, en malaxant la superbe poitrine, allant d’un sein à l’autre, d’un téton à l’autre…

Une fois, chez elle, ils parlèrent de faire l’amour à trois, elle suggéra un ami qui ne se ferait sûrement pas prier… Le fait qu’elle soit excitée à l’idée, satisfaire deux hommes en même temps, le fouettait particulièrement. Rendez-vous fut pris, l’autre était au courant, tous les trois connaissaient le programme. Elle s’était habillée sexy pour l’occasion, avec une robe moulante, des jarretelles, pas de culotte. Ils commencèrent par prendre l’apéritif, elle croisant et décroisant les jambes, très sûre d’elle, parlant de choses et d’autres, dans une tension montante. Les deux hommes avaient la bouche sèche, une érection déformant le pantalon. Finalement il se leva et alla l’embrasser, se penchant vers elle, un long baiser profond. En même temps il dégrafait son pantalon et sortait son sexe, qu’elle prit dans la main, continuant de l’embrasser. L’autre homme se leva aussi et fit de même, sa main gauche prit à son tour le sexe tendu et elle caressa les deux à la fois. Il se redressa, elle était toujours assise, regardant les deux sexes qu’elle manipulait avec douceur. Il écarta sa main et approcha de sa bouche, sans réticence elle le prit, continuant la caresse de l’autre. Puis elle changea, prit l’autre sexe entre ses lèvres. Il eut une idée folle, voulant entrer aussi, approchant son sexe. Elle se dégagea en riant et dit, « Je ne peux pas vous prendre tous les deux à la fois ! » « Essaye ! », lui dit-il. Les deux hommes, excités, rapprochaient leurs membres, dont le contact les excita tous deux. Elle commença par les embrasser, passant ses lèvres de l’un à l’autre, et finalement ouvrant au plus grand la bouche pour les prendre. Les deux glands absorbés à l’entrée, sa langue tournoyait autour d’eux.

Ensuite, ils essayèrent toutes les positions, allant dans la chambre, la déshabillant. Il la prit d’abord de face, en missionnaire, mais elle penchait la tête sur le côté pour que l’autre lui présente son sexe. Il était là, à quelques cm, faisant l’amour à sa compagne, voyant sa bouche déformée par un autre… Puis elle se mit à quatre pattes, et les deux hommes la prirent, allant et venant en rythme dans sa bouche et son sexe, alternant les rôles. Enfin ils essayèrent ce qu’ils avaient vu dans les films pornos, la double pénétration. Elle fit l’amour à l’autre homme à califourchon, et lui, lubrifiant son sexe un moment, se présenta ensuite à son anus. Elle encaissa le choc, doublement prise, les deux hommes tentaient de ne pas être en déséquilibre, un exercice délicat…

Il se demandait où allait se nicher la sexualité des hommes, et celle des femmes aussi, pour aller imaginer et pratiquer de telles positions. Il y avait une volonté de soumettre, d’humilier, propre aux films porno, et à la sexualité masculine. Pourquoi les femmes se prêtaient-elles aussi à ce jeu ? Il s’imaginait quelque chose d’atavique, au temps des cavernes, quand, selon l’image courante, l’homme traînait la femme par les cheveux pour aller la plier à tous ses caprices. Une image dont la réalité était bien sûr impossible à vérifier, personne ne peut savoir comment l’homme et la femme de Cromagnon ou d’avant se prenaient. En tout cas il est sûr que l’amour courtois n’était pas de cette époque.

Il se souvenait aussi d’une anecdote sur Cléopâtre, racontée par un historien romain dont il avait oublié le nom. La reine, experte en choses de l’amour, avait accepté un pari, faire passer dans une soirée d’orgie cent patriciens et soldats romains entre ses lèvres, les amener tous par une habile fellation au plaisir. Elle avait réussi son pari, l’histoire ne disant pas les détails ni les participants, peut-être Marc-Antoine, peut-être César, et leurs lieutenants.

Quand il se décida enfin à la quitter, après l’été, elle accepta très mal son départ, essaya de le rendre jaloux, couchant à droite et à gauche, lui racontant en détail. Elle avait notamment un amant toujours disponible, qu’elle allait voir à l’occasion. « J’avais besoin d’être prise ! », lui dit-elle, avec sa franchise habituelle. Pincé, jaloux, il lui demanda, « Comment c’était ? Tu l’as bien fait jouir ? » « Oui, dit-elle, il m’a prise par derrière et a crié comme un dément au moment d’éclater en moi… » Il se comportait comme un imbécile, il n’y avait aucun espoir avec l’autre, et pourtant il laissait cette femme qui lui convenait tout à fait, sur bien des plans. Sa fille lui fit remarquer par la suite, « Tu as une femme très bien pour toi, tu la laisses tomber pour une garce… »

Bien plus tard, il retourna seul dans la boîte de Charente, cette fois-ci dans des soirées hommes admis. Deux expériences extrêmement érotiques l’y attendaient. La première, vers les petites heures de la nuit, quand beaucoup étaient déjà partis, fut l’arrivée d’un couple visiblement très branché sur ce type d’expérience. L’homme avait un anneau autour du sexe, la fille qui l’accompagnait était vouée à une soumission totale à son mec. Elle se pliait à ses moindres désirs et s’offrait à tout autre s’il lui demandait. Il s’allongea sur un lit circulaire, la prit dans ses bras de dos et lui dit d’ouvrir les jambes, elle était nue. Une dizaine d’hommes, dont lui, entourait le couple, debout, prêts à se satisfaire. Il leur fit signe qu’ils pouvaient la prendre. Le premier s’approcha, enfila un préservatif, prit les genoux de la fille dans ses mains, les écarta et présenta son sexe, elle l’absorba et il alla et vint en elle jusqu’à prendre son plaisir. Un autre suivit, puis un autre, puis encore un, la plupart se succédèrent et la fille regardait son amant tendrement en arrière pendant qu’elle était ainsi utilisée comme objet de jouissance, comme simple vagin disponible. Il ne put se résoudre à se mêler à eux, ayant sans doute quelque crainte sur son érection, devant l’assemblée. L’ambiance d’érotisme incandescent lui suffisait. Peu après cette séance, une autre salle avec des douches chaudes permettait de se relaxer. L’homme y était, sous l’eau, et sa compagne vint le rejoindre, elle s’agenouilla pour le prendre dans la bouche pendant qu’il recevait l’eau chaude. Les autres et lui regardaient, fascinés. L’homme arrêta la fille pour indiquer les autres sexes qui attendaient, et elle se dirigea vers eux, les prenant tour à tour entre ses lèvres. Certains jouirent, elle se retirait à ce moment, n’avalant pas le sperme.

Une autre nuit, plus pleine de monde, fut assez frustrante, les gens venus avec une femme restaient entre eux et ne donnaient pas l’accès à d’autres. Les coins câlins fermaient avec un simple verrou intérieur, et les groupes s’y enfermaient, laissant cependant la possibilité d’observer par quelques lucarnes, où les voyeurs se pressaient. Une jeune femme était venue avec deux collègues, pour se livrer à tous les plaisirs, devant un public de quelques hommes. Il observait leurs ébats, la fille à quatre pattes prise par derrière et suçant l’autre homme. Ou encore chevauchant l’un deux et offrant sa croupe à l’autre, qui présentait son sexe entre ses fesses pour la sodomiser. Il regardait les yeux écarquillés et sentit venir un orgasme au moment où la fille était doublement pénétrée. Il jouit à gros jets sur le mur, incapable de se contrôler, le plaisir le submergeait.