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Strip poker

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  Sa petite amie, Carol, une étudiante américaine à Paris, était plutôt grassouillette, et son corps flasque et sans grâce ne l’attirait guère. Ils n’avaient même pas fait l’amour, et il se servait d’elle, faute de mieux. Il s’était persuadé que les jolies filles lui étaient inaccessibles et qu’il ne pouvait avoir que des boudins. Sa timidité maladive le bloquait totalement face aux premières, dont il tombait amoureux instantanément. Un soir où ils étaient allés, Carol et lui, au restaurant et au cinéma, il finit par l’amener dans sa chambre à l’école. Il lui proposa un strip-poker, et bientôt elle commença à perdre et dut retirer son pull, sa jupe, sa chemise et se retrouva devant lui, tout habillé, en slip et soutien-gorge. Elle avait des seins énormes, des jambes courtes et un ventre rebondi. La poitrine débordait de tous les côtés et tendait l’étoffe déformée par la masse de chair blanche et tendre. Ce spectacle l’excitait et il cessa le jeu pour se déshabiller à son tour. Il retira son pantalon et son slip et lui présenta son sexe. Elle le regardait faire ne sachant trop ce qu’il avait en tête ; en fait il voulait profiter de sa poitrine, mais sans enlever le soutien-gorge qui remplissait trop bien sa tâche. Il se mit à genoux sur elle de part et d’autre de son bassin de façon à approcher la poitrine avec son pénis dressé, puis il l’introduisit sous le tissu serré entre les deux globes, pour le faire ressortir au milieu des seins, sous le menton de la fille. Les deux mamelles enserraient le sexe, compressées par le soutien-gorge bien tendu. Il sentait tout le long de son membre, à l’exception du gland qui ressortait vers le haut tel la tête d’un serpent, la douceur et la tendresse des mamelles de la fille. Il commença à aller et venir entre les seins, abaissant son sexe dont la tête disparaissait avec un bruit de succion dans le décolleté, mouillant la chair du liquide émis par la fente du méat. Puis il réapparaissait vers le haut, sortant le gland et la moitié du sexe retenu par la bande de tissu blanc. Il appuyait des deux côtés pour se sentir bien enclos dans l’accueillante poitrine qui reproduisait les sensations d’un vagin. Elle le laissait ainsi utiliser son corps et vit que le plaisir montait à chaque mouvement de va-et-vient. Finalement il sentit se nouer au fond de son corps le déclenchement de l’éjaculation et au sortir des seins, le sexe laissa échapper d’abondantes giclées de sperme qui barbouillèrent la fille, de la poitrine au menton. Elle laissa le garçon se répandre sur elle en fermant les yeux.

  Carol avait une chambre à Paris et une autre fois il alla chez elle où ils firent l’amour de façon plus traditionnelle. Il avait un peu bu et se laissa faire. Elle était amoureuse et le voulait depuis longtemps dans son corps. Lui au contraire redoutait cela, car il avait peur de mettre enceinte une fille qu’il n’aimait pas, et aussi parce qu’il éprouvait une sorte de dégoût pour son physique à la limite de l’obésité. Il la prit en missionnaire et s’étendit sur le corps flasque qu’il pénétra sans peine. Elle était toute mouillée et quand il fut en elle, elle bredouilla des mots sans suite, des paroles de plaisir, lui faisant comprendre qu’elle attendait ce moment depuis longtemps. Elle jouit sous lui et il la suivit, se retirant au dernier moment en éclaboussant son pubis et son ventre autour du nombril.

  Après cela, il la sentit totalement livrée à lui et à ses volontés. Elle était prête à faire ce qu’il voulait d’elle. Il la prit de toutes les façons possibles, entre les seins à nouveau, dans sa bouche, entre les fesses, cherchant l’entrée de son anus au milieu des chairs flasques et retrouvant la fermeté dans le conduit étroit au moment où il la forçait. Puis un jour, il vint chez elle avec deux copains de la fac en leur annonçant qu’il connaissait une fille disponible et prête à faire ce qu’il voulait. Ils burent toute la soirée, et finalement il commença à l’enlacer et à l’embrasser devant ses amis. Elle était bien partie et se laissa faire, même quand il sortit son sexe et lui demanda de le caresser devant les autres. Elle le fit, puis elle s’agenouilla entre ses cuisses et continua avec la bouche. Un des garçons lui prit les hanches et la fit mettre à quatre pattes pendant qu’elle continuait sa fellation. Il releva sa jupe, baissa son slip et l’enfila proprement dans le vagin transformé en lac par son excitation. Il sentit les dents de la fille sur son sexe au moment où elle fut envahie par son copain, mais elle se reprit et s’appliqua à le faire jouir. Le troisième garçon les regardait baiser à deux cette grosse fille qui se laissait faire, et il s’approcha en sortant à son tour son membre raidi par le spectacle. Il n’y avait plus de place pour lui malheureusement et il tenta d’attirer une des mains de la fille sur son sexe pour qu’elle le branle. Mais sa position était plutôt inconfortable et elle n’arrivait pas à garder son équilibre et satisfaire les trois en même temps. Il la laissa pour s’agenouiller à côté du premier et attendre qu’elle s’occupe de lui. Son amant sortit son sexe de la bouche et fit signe à la fille de passer à son compagnon. Elle le prit dans la bouche et poursuivit la fellation sur l’autre tandis que son postérieur était toujours occupé par le troisième. Elle alla ainsi de l’un à l’autre pendant un moment, puis ils essayèrent de présenter leurs sexes en même temps devant elle en se mettant face à face. Leurs deux verges se touchaient et les garçons ressentirent un plaisir trouble à ce contact homosexuel. Elle se pencha au-dessus d’eux et tenta d’avaler les deux pénis tendus. Ils entrèrent en déformant sa bouche, elle devait écarter ses lèvres au maximum pour les recevoir. Elle commença un mouvement de va-et-vient et réussit assez bien une caresse inaccoutumée. Surexcités par ce spectacle et les sensations qu’ils éprouvaient les deux garçons sentirent le plaisir monter en même temps. Ils déchargèrent pratiquement au même moment au fond de sa gorge ; elle avala sans protester le mélange des deux spermes. Le troisième était enfin en train de jouir lui aussi et au moment où, la bouche pleine, elle déglutissait et se rengorgeait pour faire descendre la bouchée de semence, il déchargea à son tour au fond du vagin en l’agrippant aux hanches.

  Satisfaits, ils se reposèrent un moment, puis comme ils étaient très jeunes, ils sentirent le désir revenir. Inspirés par leur acte précédent, ils voulurent la prendre ensemble, cette fois dans le vagin. Le premier la fit venir sur lui et elle s’empala sur le sexe, bien calé au fond d’elle. Un deuxième se présenta par derrière et chercha à se faufiler à son tour dans le vagin déjà rempli. Il força sa voie, les chairs se distendirent et bientôt il put occuper lui aussi la place. Les garçons sentaient leur sexe frotter l’un contre l’autre en même temps que les parois du vagin les enserraient. Elle était large et les recevaient tous deux plus facilement que dans sa bouche. Ils essayaient de coordonner leur mouvement pour aller et venir en elle. Elle bougeait elle aussi en rythme, prenant appui sur ses mains pour pousser vers les deux sexes et les sentir glisser en elle. Au bout d’un moment, elle eut un orgasme et se raidit en gémissant au moment de jouir. Le troisième vint ensuite s’agenouiller devant elle et lui présenta son sexe qu’elle prit entre les lèvres. Elle s’efforça de les satisfaire tous les trois et bientôt ils jouirent chacun leur tour, utilisant sans vergogne ce corps si complaisant.

  Le contact des verges incita par la suite les garçons à des rapports plus poussés entre eux-mêmes. Ils revinrent chez elle, et reprirent leurs jeux. Ils n’hésitaient plus à se caresser devant elle. L’un des garçons prenait le sexe de l’autre et le branlait devant la fille, sachant mieux qu’une femme doser son mouvement pour faire durer et donner du plaisir. Puis le troisième s’abaissait devant le sexe dressé qui restait libre et se livrait à une fellation. Ou bien, ils se prenaient par derrière et s’enculaient à trois. Elle se caressait devant le spectacle érotique qu’ils lui donnaient et atteignait l’orgasme avec eux. Leur bisexualité révélée, ils ne sentaient plus de frein et se livrèrent avec la fille trop grosse pour être belle à une débauche totale.